A la
lecture des commentaires et message reçus, nous avons vite compris que certains
lecteurs sont impatients de savoir comment a évolué notre amitié avec nos amis
Marc et Sophie. Aujourd’hui, nous allons donc vous raconter la suite … (la
suite et non pas la fin) … dans ce second épisode que l’on pourrait titrer une
soirée un peu plus coquine.
Le
premier épisode a été l’occasion de montrer l’enchaînement de situations qui a
fait que progressivement l’érotisme est devenu l’invité-surprise de nos
rencontres. Nous allons découvrir si cette ambiance bien particulière va
perdurer.
Nous
avons maintenant pris l’habitude depuis quelques mois de nous recevoir mutuellement régulièrement,
et notre prochaine soirée est prévue pour ce soir. Cependant tout a commencé
dans la semaine, lorsque je me suis dit qu’il fallait que Carole se trouve
quelques tenues un peu plus sexy que celle déjà portée à plusieurs reprises.
Certains
produits sont assez difficiles à trouver à San Gorasa ; il ne faut pas
hésiter à changer ses habitudes, et innover avec ce que l’on trouve, quitte par
exemple à modifier une recette quand on a à faire la cuisine. En revanche, au
niveau des vêtements, le choix est plutôt vaste : on en trouve de toutes
sortes, et en plus pas trop cher ; parallèlement la qualité n’est
évidemment pas toujours au rendez-vous.
Au cours de la semaine, je vais donc faire
les boutiques. Vous l’avez peut-être compris : Carole, je la trouve très
belle et désirable, et j’aime quand d’autres que moi la regardent avec un œil
intéressé. J’aime les tenues qui mettent sa taille fine et sa belle poitrine en
valeur ; j’aime un décolleté à la limite de l’indécence ou un dos nu
montrant la courbe du dos ; j’aime les jupes et les robes un peu courtes
qui ne demandent qu’à en montrer un peu plus à l’occasion des mouvements
innocents de celle qui la porte. Je repère ainsi quelques robes que je trouve
agréables et dans lesquelles j’imagine bien Carole. Je remarque notamment un
modèle qui me tape vraiment dans l’œil. Cependant je n’ose pas l’acheter de
peur qu‘il ne lui aille pas ou ne lui plaise pas.
L’après-midi
avant notre soirée, je demande à Carole de m’accompagner dans la boutique où
j’ai repéré ma robe préférée. C’est une robe marron clair très moulante faite
d’un tissu élastique ressemblant un peu au daim. Elle présente un décolleté plutôt
plongeant. Le bas est court, asymétrique, avec sur le coté une fermeture éclair
qui va du bas jusque sous la poitrine. Carole s’isole dans la cabine pour la passer.
Pour l’essayage, elle conserve string et soutien-gorge, mais lorsqu’elle se
regarde dans la glace et remarque les marques disgracieuses laissées par ses
sous-vêtements, elle a ce commentaire sans appel « il ne faut rien mettre
dessous » ; ce qui, vous le comprendrez facilement, me plaît tout de
suite. Dès qu’elle est sortie de la cabine, j’avais eu la même pensée qu’elle,
mais je préférais attendre un peu que la remarque sorte de sa bouche. J’ai
ainsi la confirmation que nous sommes sur la même longueur d’onde. Moi, elle me
plaît ; ce qui est plutôt normal car plus c’est sexy, plus j’aime ;
et elle deviendra la robe la plus sexy de sa garde-robe si nous l’achetons.
Mais Carole, qu’en pense-t-elle ? Eh bien, elle se trouve plutôt pas mal
dans cette robe, et elle a un petit sourire amusé en se regardant dans la
glace. Peut-être se dit-elle en elle-même « finalement, je ne suis pas si
grosse que cela ». En effet, à l’instar de beaucoup de femmes, Carole se
trouve trop petite, trop grosse et avec de trop gros seins … alors que pour moi
c’est parfait, enfin n’exagérons pas non plus, c’est, disons, presque parfait. Donc, le
résultat lui plaît aussi, et l’achat peut se faire.
Pour
la soirée, nous avions prévu de recevoir nos amis chez nous. Je rappelle que
nous sommes voisins. Cependant avec les enfants ce n’est pas toujours facile en
fonction de l’heure à laquelle ils vont au lit. Quelques jours plutôt, nous
avions donc finalement décidé de mettre tous les enfants à notre
maison avec un film, et l’instruction d’aller au lit après ; et pour nous
4, d’aller passer la soirée dans leur maison. En fin d’après midi, je vais donc
porter les différents plats à leur maison, car il était convenu que, même si
cela se passait chez eux, c’est nous qui préparions le repas. A cette occasion,
Sophie me demande comment Carole a prévu de s’habiller. Je leur dis que nous
avons trouvé une petite robe sympa, et que j’espère que Carole la portera. Marc
ajoute « avec tout l’attirail » ; il est en effet très friand
des bas et autres porte-jarretelles. Je lui réponds que ce ne sera pas possible,
car la robe est très moulante et que Carole a dit qu’elle se porte sans rien
dessous. Sophie intervient alors : « j’en ai une comme cela. Je vais
la mettre ». Il faut préciser qu’à l’inverse de Carole, Sophie possède une
garde-robe très bien fournie en tenues sexy. Tout s’annonce donc plutôt bien.
Je
vous passe le début de soirée chez nous à faire manger les enfants. Vers 20h30,
nous les quittons et allons dans la maison de Marc et Sophie, Carole ayant revêtu
sa nouvelle robe. Dès que nous arrivons chez eux, Sophie va se changer (avec
les enfants, elle n’avait pas osé venir chez nous déjà préparée). Elle revient
dans une robe noire courte et moulante, avec un décolleté aussi avantageux que
celui de Carole, même si sa poitrine est un peu moins développée. Pendant
l’apéritif, il ne se pas passe grand chose, si ce n’est quelques regards
appuyés sur nos femmes qui sont vraiment très belles. Nous passons à table, en
continuant nos discussions plutôt orientées vers les choses du sexe. En cours
de repas, à la fin d’un plat, Sophie prend Carole par le bras en lui disant
« Viens. Je vais te montrer quelque chose ». Marc et moi, nous
restons à table en continuant à discuter. Au bout de 10 mn, ne les voyant pas
revenir, nous décidons d’aller voir ce qu’elles font. Nous avions beaucoup
parlé « tenues » avant, et nous pensions que Sophie montrait à Carole
certaines de ses robes. Finalement nous les retrouvons chacune sur une chaise
devant l’ordinateur, avec Sophie en train de montrer à Carole sa collection de
vidéos et autres photos. Elles ont toutes les deux l’air d’être très
intéressées et de bien s’amuser. Je précise que ce ne sont pas des documents
personnels mais des choses glanées à gauche et à droite sur le net, et qu’ils
ont tous quelque chose en commun : ils se rapportent au sexe. Certains
sont assez excitants, d’autres plutôt amusants voire surprenants.
Pendant
qu’elles visionnent tout cela, nous nous plaçons chacun derrière notre épouse
respective pour profiter également de la projection. Je ne sais plus lequel des
deux à commencer, mais assez rapidement, nous sommes tous les deux à caresser
innocemment les seins de notre épouse respective. Il faut dire que leur
position et leur tenue nous facilitent l’accès à leur poitrine. Les femmes ne
réagissent pas à notre initiative. Cependant, les tétons de Carole se dressent
sous la caresse de mes doigts, et j’imagine qu’il en est de même pour Sophie. Cela
dure une bonne dizaine de minutes, pendant lesquelles nous rigolons et
commentons ce qui nous passe devant les yeux, nos mains toujours concentrées
sur les seins de nos femmes. Ensuite nous décidons d’aller prendre le dessert.
Celui-ci demande quelques préparations, et nous laissons Marc et Sophie dans le
séjour tandis que nous nous rendons dans la cuisine.
Nous
avons un peu l’esprit échauffé, et je profite de notre intimité relative pour
embrasser Carole. Pendant notre baiser, compte tenu de sa tenue, ma main atteint
facilement son sexe; je comprends ainsi qu’elle aussi ne reste pas insensible à
l’ambiance de la soirée. Depuis quelques temps, Carole se fait épiler en ne gardant
qu’une petite touffe de poil sur ce que l’on appelle communément le mont de
Vénus. Mes doigts vont donc à la découverte de ses lèvres toutes lisses que je
trouve gonflées et gorgées d’une humidité bien agréable. Elle me demande alors de
ne pas trop la caresser, car elle est si excitée qu’elle a peur de jouir trop
vite. Je précise ici que Carole a parfois tendance à être ce que l’on pourrait
appeler une jouisseuse précoce, et qu’il ne me faut parfois que quelques
va-et-vient pour qu’elle sombre dans le plaisir. Ni voyez ici, aucune fierté de
ma part ; tout cela vient plutôt de Carole et de la prédisposition dans
laquelle elle se trouve lorsqu’elle apprécie une situation. La seule fierté que
je pourrais en tirer est celle d’avoir une femme qui accepte ses envies et son
plaisir. Je continue néanmoins à la taquiné pendant qu’elle est occupée, et une
fois le dessert préparé, nous rejoignons nos amis avec les assiettes ;
sans savoir ce qu’ils ont fait de leur côté pendant notre courte absence.
Après
le dessert, nous passons au salon, et Marc propose une petite partie de cartes.
Nous jouons au poker Texas Hold’Em (ce qui passe parfois à la télé avec Patrick
Bruel) avec des billets de Monopoly. Cependant, erreur grossière, certainement
due à notre manque d’expérience et à un petit défaut de préparation, avant de
commencer nous ne définissons pas les règles notamment pour les perdants. Ainsi
lorsque Carole se trouve à court de jetons et veut que je lui en passe quelques
uns (j’ai en effet un beau tas devant moi), je lui demande ce qu’elle me donne
en échange. Elle n’est visiblement pas prête à aller très loin, et j’obtiens
finalement qu’elle ouvre de quelques centimètres la fermeture éclair de sa
robe ; cela a pour effet de dénuder un peu plus ses cuisses lorsqu’elle
est assise, mais pas au point de mettre en évidence l’absence de culotte ;
surtout que pour se prémunir contre cela Carole a tendance a tenir bien joints
ses genoux. Ensuite c’est au tour de Sophie de se retrouver plumée. Les garçons
auraient envie de continuer un peu, mais les filles ne sont pas trop d’humeur
joueuses ; il est tard, tout le monde est un peu fatigué, la défaite de
Sophie marque donc la fin à la soirée.
Je
suis sincèrement désolé pour toi pauvre lecteur ; je t’imagine derrière
ton écran, attendant une issue un peu plus coquine, « chouette une partie
de poker ; cela va certainement se terminer à poil ! ». Eh bien non. Désolé. Ici c’est la vraie vie;
il te faudra donc encore faire preuve de patience.
Nous
nous rendons tous les quatre à notre maison ; Marc et Sophie récupèrent
leurs enfants endormis et nous nous souhaitons mutuellement une bonne nuit.
Dès
la porte fermée, nous sautons l’un sur l’autre. Carole est très excitée, et
nous faisons l’amour sans même prendre le temps de nous déshabiller. Sans autre
préliminaire, je m’allonge sur elle, et mon sexe s’introduit en elle sans
aucune difficulté – Ah enfin un peu de sexe - se dit le lecteur impatient. Mais la soirée nous a tellement
émoustillés que nous jouissons tous les deux très vite et nous endormons
rapidement enlacés - Quoi ? déjà fini ! - Vous voyez que moi aussi,
même si cela est plus fréquent pour un homme et pas aussi glorieux que lorsque
l’on parle de sa compagne, je peux être à certaines occasions un jouisseur précoce.
Le
lendemain, nous discutons au réveil sur l’oreiller. Nous nous faisons quelques
confidences sur notre relation avec nos amis, et ce que nous envisageons pour
la suite. Il s’avère que nous ne savons pas où nous allons. Nous avons passé
une très bonne soirée, mais nous n’avons aucune idée de jusqu’où cela pourrait
aller. Une chose est sûr : c’est que nous apprécions tous les deux cette
complicité avec nos amis, et que nous ne comptons pas en rester là. Lors de
notre discussion, je dis à Carole que les vidéos qu’elle a vues l’ont bien
excitée, et qu’elle était toute moite dans la cuisine. Elle me répond alors que
c’est plutôt sa tenue, et le fait de se sentir très découverte dans sa robe sans
rien dessous tout au long de la soirée qui lui ont fait de l’effet. Ainsi, même
si elle est habituée à être nue sous sa jupe ou sa robe, cela lui procure
toujours autant de plaisir.
Par ailleurs,
je lui dis avoir aimé caressé ses seins alors que nous étions à leur
côté ; elle me répond surprise qu’elle ne s’en est pas aperçue : info
ou intox ? C’est une chose assez fréquente de la part de Carole de ne plus
se souvenir de détails qui, une fois l’excitation passée, forment pour elle des
souvenirs bien embarrassants.
A la fin de notre discussion, Carole m’apprend
qu’elle a eu l’occasion de voir le sexe de Sophie au cours de la soirée. Je
suis tout surpris, et lui demande de me raconter. Ainsi en fin de soirée, au
moment de quitter leur maison, Marc a brusquement soulevé le bas de la robe de
Sophie jusqu’à faire apparaître son sexe nu. Carole a alors tout vu et bien
profité de ce qui lui était offert. De mon côté, j’avais bien remarqué la manœuvre
de Marc, mais d’où j’étais, je suis
passé complètement à côté du spectacle. Peut-être qu’une prochaine fois …
Dans
la journée, nous voyons Marc et Sophie. Ils semblent comme nous être contents
de leur soirée, et nous disent avoir passé un très bon moment ; la fin ayant
été pour eux tout aussi réussie et expéditive que la notre.
Une
nouvelle soirée est prévue sur le même principe le mois prochain. J’en vois
déjà qui se disent, ou du moins je l’espère, « Quoi ! Dans un mois.
Il faudra attendre tout ce temps. » En effet, même si nos petites soirées
nous plaisent et que nous en redemandons tous, nous ne voulons pas précipiter
les choses ; l’abondance et l’excès risquant de tuer l’envie et le désir.
C’est cela aussi l’érotisme, prendre son temps pour suivre ses émotions et
avoir le temps de penser, de rêver, voire de fantasmer en imaginant les choses
qui pourraient se passer. Mais que le lecteur se rassure. Pour lui, cela sera
plus court, et les mois deviendront des semaines voire certainement des jours.
Avec
Marc nous discutons un peu de ce que nous pourrions faire pour agrémenter un
peu la prochaine soirée et nous envisageons de faire un petit jeu. En effet,
nous sommes tous les deux d’accord pour dire que le jeu rime très bien avec
érotisme, et qu’un jeu adéquate peut faire passer une très bonne soirée. Je lui
propose alors quelque chose que j’ai déjà fait avec Carole au restaurant :
c’est le jeu des petits papiers dont je vous ai déjà parlé dans un des posts
… et qui a déjà de nouveaux adeptes parmi
les lecteurs de ce blog ; n’est-ce pas Waikaa. Pour ceux qui ont des
enfants, c’est un peu « action chiche ou vérité » qui se joue dans
les cours de récréations, mais pour adultes … consentants. Nous prévoyons donc un
peu la même chose pour notre soirée, et qu’à chaque étape du repas, chacun tire
un petit papier avec là aussi soit une question soit une instruction.
Cela
pourrait nous permettre de passer une excellente soirée si nos petits papiers sont
bien préparés et les femmes dans de bonnes dispositions …
A
suivre
Merci pour ce 2ème épisode... Les relations se nouent avec le temps ! :-)
RépondreSupprimerMort de rire sur la fin de la partie de poker !
RépondreSupprimervotre blog est excellent, et me rappelle (en plus soft pour le moment, ça démarre tout juste) ce que nous sommes en train de vivre ma femme et moi...allez je vais à 'ép 3.
Bien heureux que cela vous plaise. J'espère que vous êtes allés au bout pour découvrir que cela s'est progressivement corsé.
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