lundi 31 octobre 2011

Une journée comme nous les aimons


Vous avez certainement compris que lorsque nous arrivons à n'être que tous les 2, ce sont souvent des moments de forte complicité emprunts de charme et d’érotisme. Nous apprécions particulièrement les promenades à pieds ou en vélo pour partir à la découverte des coins tranquilles et sauvages de la région dans laquelle nous sommes. Nous conservons toujours dans nos mémoires de biens agréables souvenirs au sujet de ces ballades, la photographie étant un moyen facile pour raviver notre mémoire quand nous y repensons.

La promenade que nous allons vous raconter aujourd’hui se déroule à l’occasion d’un court séjour dans le sud-ouest à proximité d’Arcachon, au cours duquel nous décidons d’aller passer la journée au Cap Ferret, pour une journée de vélo ; cela nécessite donc de traverser le bassin et le matin venu, nous nous dirigeons vers l’embarcadère pour emprunter une navette

Ne croyez pas que parce que c’est une journée vélo qui est au programme que Carole va changer ses habitudes. La journée s’annonce ensoleillée et chaude, et c’est donc revêtue d’une petite robe plutôt courte (le lecteur attentif reconnaîtra la robe), toujours sans rien dessous, du moins en ce qui concerne le bas, qu’elle se prépare à passer la journée.

J’ai l’occasion de faire la première photo de la journée dès la traversée.



Arrivés au débarcadère, nous nous dirigeons vers le loueur de vélo et enfourchons rapidement nos bicyclettes. Après avoir acheté quelques réserves en prévision du pique nique du midi, nous prenons la direction du Nord, avec l’idée de suivre l’une des nombreuses pistes cyclables. Nous cheminons ainsi, nous arrêtant de temps en temps pour visiter les petits villages le long du bassin.





 

A l’occasion de nos déplacements en vélo, je m’aperçois vite, Carole aussi d’ailleurs, qu’avec la vitesse le bas de sa robe a une fâcheuse tendance à se relever. J’envie les cyclistes qui nous croisent pour la charmante vue à laquelle ont droit les plus attentifs.  Après un certain nombre de tentatives infructueuses, et avec l’aide de Carole, j’arrive à faire quelques clichés réussis sur le vélo.










 Au moment du pique nique, nous trouvons une petite clairière au milieu des pins. C’est l’occasion de faire quelques nouvelles photos, et en guise de dessert, nous profitons de notre isolement pour enfin nous libérer du désir nous ayant envahit progressivement tout au long de cette matinée. Il y a bien sûr quelques photos de ce moment d'intimité ... mais celles-ci nous les gardons pour nous.

Le ventre plein, et nos envies un peu calmées, nous reprenons la route. Nous sommes maintenant sur un chemin suivant l’océan et nous décidons de chercher une plage pour nous baigner. Il faut reconnaître que dans cette région c’est une chose assez facile. Nous prenons un chemin perpendiculaire à la côte et arrivons rapidement en vue des dunes. Nous cachons les vélos au milieu des pins et suivons le chemin qui se poursuit vers la mer au milieu des dunes.

Après quelques minutes nous arrivons sur la plage, immense bien entendu. Il y a évidemment un peu de monde, mais c’est très supportable ; certains sont nus d’autres en maillot de bain. Nous installons nos serviettes, bien décidés à aller vite nous rafraîchir. Nous ne sommes pas naturistes, mais pas non plus excessivement pudiques. Nous nous changeons donc sans trop de cérémonie. A l’occasion de notre pause du midi, Carole s’est abstenue de remettre son soutien-gorge. Ainsi, lorsque debout sur la plage, elle retire sa robe, elle dévoile aux quelques spectateurs ayant suivi notre arrivée qu’elle est nue dessous ; geste que je trouve très érotique, plus que la nudité en elle-même.

Ensuite elle se contente d’enfiler un bas de maillot, un string des plus charmant. Nous trouvons cette baignade dans les vagues bien agréable, et bien rafraîchissante après ces kilomètres à vélo. N’étant pas du genre à jouer les crêpes en plein soleil, nous ne tardons pas après notre bain. Juste le temps de se sécher sous les rayons du soleil et nous nous rhabillons, toujours aussi légèrement en ce qui concerne Carole. Et après une dernière photo dans les pins, nous repartons à vélo.

Je profite des bonnes dispositions de Carole pour faire quelques photos sur le chemin du retour.



 Nous n’avons pas vu le temps passé, et c’est déjà l’heure de rejoindre l’embarcadère. 
C’est une heure d’affluence. Il nous faut donc patienter un petit peu avant de réussir à embarquer dans une des navettes, et à prendre place sur une des banquettes. Nous nous retrouvons sur un des côtés du bateau où deux banquettes se font face dans le sens de la longueur du bateau. La notre a la particularité d’être très large, environ 1 mètre. Si au début nous sommes assis sur le bord de la banquette avec les pieds en appui sur le sol, très vite nous prenons une position plus confortable pour faire face aux 30 minutes de traversée qui nous attendent. Nous nous reculons donc au maximum pour nous adosser au bastingage ; dans cette position nos pieds ne touchent plus le sol et nos jambes sont droites devant nous sur la banquette.

Tandis que je discute avec Carole, je regarde un jeune couple qui nous fait face sur la banquette opposée. En suivant leur regard, je comprends vite leur sujet de conversation. Carole ne s’aperçoit pas qu’elle est au centre de la discussion et que sa position ne laisse aucun doute à nos voisins sur son absence de dessous. Ils ont tous les deux un air plutôt sympathique ; je préfère ne pas parler de ma découverte à Carole et décide de garder cela pour après la descente du bateau. A un moment, la jeune fille prend discrètement le visage de son ami dans sa main, lui tourne la tête vers elle et lui dit un sourire aux lèvres « arrête de regarder ! ». 

A posteriori, je ne regrette qu’une chose : j’ai en effet eu envie de leur demander de nous prendre en photo avec notre appareil, comme le font de nombreux couples pour être photographier en couple, mais je me suis lamentablement  dégonflé; j’aurais aimé voir comment le photographe aurait cadré cette photo. En tout cas, je me suis toujours dit que si un jour l’occasion se représente, je ne la laisserai pas passer.

Lorsque, une fois descendus du bateau, je raconte à Carole que le couple sur la banquette opposée a bien profité du spectacle qu’elle leur a offert, je ne suis guère surpris de sa réaction, et cela a plutôt tendance à l’amuser. Elle aime toujours autant être regardée ; mais cela doit toujours être fait dans la discrétion et il faut surtout que ceux qui regardent aient l’impression que tout cela n’est du qu’à un heureux hasard.


Cette excellente journée se termine par un bon repas à la terrasse d’un petit restaurant très sympa ... Carole change de robe pour le repas ... mais que pensez-vous qu'elle porte en dessous ?


1 commentaire:

  1. On adore la classe de Mme constamment en ballerines tres bcbg..Excitant pour bcp on pense!

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